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ENTREPRENEURS

Nos programmes ont touché des centaines d’entrepreneurs. 78 d’entre eux ont démarré une entreprise. Rencontrez-en quelques-uns.

 

Pendant la prochaine décennie, treize millions de jeunes africains devraient rejoindre le marché du travail, annuellement. Le chômage des jeunes devient une épidémie que l’on doit traiter immédiatement. L’approche saine nécessaire inclut l’éducation et le financement, en plus des politiques de développement en faveur des entreprises. 

L’entrepreneuriat n’est pas la seule solution, par contre, mais il joue un rôle très important. En fait, une étude mené par la Banque Mondiale a révélé que le financement des entrepreneurs est peut-être la sorte de l’intervention de développement la plus efficace.

La pièce maitrêsse de nos formations, c’est le programme breveté qui mélange le design humanitaire, les compétences en affaires, les qualités de dirigeant, et le travail d’équipe, apportant ces compténces par le modèle de l’apprentissage par la pratique. Tous nos stagiaires ont achevé ce programme intensif.

 
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Fatoumata Binta Diallo

soutenir l'avenir

Fatoumata est une jeune femme qui devrait être un bon exemple pour toutes les jeunes femmes qui cherchent faire la différence dans leurs pays. Elle a surmonté plein de défis pendant la période de recherche et développement, et elle a même gagné le concours. Le prix était 18 250 000 GNF (≈$2,645) et grâce à ce prix, elle a ouvert une crèche.

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Les femmes du coin de Fatoumata vendent au marché qui se trouve sur le bord de la grande route de Conarky. Il est très difficile pour ces femmes qui veulent gérer leurs propres affaires en même temps qu’elles gardent leurs enfants qui risquent de se faire écraser par les voitures, de tomber malade à cause de jouer dans les tas de déchets qui traînent à côté du marché, ou de tomber dans les caniveaux. Simultanément, Fatoumata s’est rendue compte que beaucoup d’enfants à l’école ne connaissaient pas l’alphabet, les chiffres, ou comment penser créativement, et donc ces enfants étaient désavantagés et ils ne ratrappaient jamais. Au vu de ces problèmes sociaux, Fatoumata a décidé de lancer sa crèche en promouvant la créativité et la sécurité des enfants.

À la suite de quelques semaines d’exploitation, elle garde et enseigne 82 enfants. Elle a deux salariées et elle veut encore embaucher. Grâce à l’aide de AGUIDEP, une organisation avec qui Osez Innover travaille en Guinée, Fatoumata ordonne ses documents. Pendant quelques mois, Fatoumata était une jeune femme rentrée de l’université et découragé à cause du manque d’opportunités disponibles et elle est devenue un chef de son village et un entrepreneur social qui peut fournir pour elle-même et les autres.

Mamadou Aliou Bah

innovation veterinaire

En 2012, Aliou a fini ses études en médecine vétérinaire. Il a eu la chance d’avoir fait des stages mais aucun de ces stages l’a fourni un travail. Il était au chômage quand il est venu à la conférence d’Osez Innover. Pendant la conférence, Aliou a fait remarquer que la demande des soins vétérinaires devenait de plus en plus forte dans la région environnante. Après avoir gagné le concours en 2013, il s’est établi la première dispensaire vétérinaire mobile à Pita qui fournit des traitements pas trop chers à la campagne et aussi des consultations directes pour les chevriers.

Aliou a une passion pour la médecine vétérinaire. Il est déterminé à améliorer la condition socio-économique de son village pour aider les autres à trouver le bon travail. Il nous a expliqué “Ce qui me frustre le plus, c’est le manque de protéine dans les repas malgré les éfforts des fermiers et élèves qui ont maîtrisé leur matière et travail [mais qui n’ont pas réussi à trouver un travail pertinent]. Ma dispensaire vétérinaire s’occupera de ce problème.”

Aliou a évolu en brillant entrepreneur social et modèle de changement dans son village. Il a reçu du financement supplémentaire pour étendre son entreprise pour qu’il ait un élevage de poulets.

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John Dari

INTÉGRATION agricole

John a grandi dans les villages autour de Parakou. Il s’intéressait à l’agriculture donc il a étudié l’agronomie à l’université. Il voulait avoir un don particulier et valable, donc il a choisi de se spécialiser dans l’apiculture. Il croit en l’intégration de l’apiculture, l’agriculture, la foresterie, en disposant avec l’éducation de l’environnement, porte un vrai potentiel pour protéger les ressources importantes dans les forêts au Bénin. En même temps, cette intégration aidera à réduire la pauvreté en créeant des nouvelles opportunités économiques pour les fermiers pauvres. John recherche toujours la connaissance pour savoir de plus sur l’apiculture et ses avantages potentiels dans son village.

John a gagné $ 1 000 au concours en 2015, et grâce à ce prix il a construit plusieurs ruches à la ferme de sa famille, dont des nouveaux modèles qui ne sont pas encore courrament utilisés au Bénin. À part améliorer son propre rucher, il recherche à s’étendre la croissance de l’apiculture aux autres, et à commencer “une banque d’abeille” pour que les fermiers qui veulent intégrer les abeilles dans leurs systèmes agricoles puissent facilement commencer. Un jour, il espère avoir sa propre ferme qui aura une diversité d’arbres et de cultures permettant la production du miel et des abeilles pendant toute l’année.

Timothée Mora

nourrir l'avenir

Le fils d’un fermier, Timothée a passé sa jeunesse en travaillant la terre près de Komiguéa dans la communauté de N’Dali. Il a développé son amour d’agriculture et une motivation forte pour améliorer la condition de sa communauté. Grâce à son éducation et son caractère, il a gagné le respect des autres dans sa communauté et il est considéré comme une ressource précieuse pour le développement.

Car la malnutrition est un grave problème dans la région, Timothée reconnaît que le potentiel de soja pour augmenter la quantité  de la protéine dans le régime alimentaire.  De plus,  les sources protéines végétales  comme le soja provoque moins  de fardeau pour les ressources naturelles par rapport aux sources protéines animales, qui les rend donc plus durables. Il veut aussi augmenter la production de soja dans sa région en améliorant les graines et les techniques, ainsi qu’en utilisant un barrage qui permettra l’irrigation, et donc produira trois cultures par an au lieu de une seule. Il a gagné $ 800 au concours en 2015, et grâce à ce prix il a acheté une batteuse pour sa communauté. Cette machine aidera les fermiers à réduire les pertes quand ils traitent leurs cultures et à améliorer la qualité des leurs produits finaux. Il utilisera aussi le prix pour préparer sa terre pour la prochaine saison et pour acheter des graines.

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