C’est quoi la culture d’un « start up », précisément, le nôtre. Aux Étas Unis, quand on pense d’un « start up », il y a quelques éléments qui viennent en tête. Vous pouvez entrer dans n’importe quel « start up », et il ressemble à un petit peu tous les autres. Il aura certainement des casse croûtes, des emplois en jeans, et une table pingpong dans le coin. Ces éléments d’une culture « start up » sont une base, sur lequel vous pouvez construire votre propre culture. Les éléments d’une ancienne entreprise considéré comme des luxes, sont actuellement les attentes. Ces des façons d’attirer des emplois. Si XZY.ly ont des casse croutes bio, on doit avoir des casse croutes locaux et bio. Si ABC.fy a des bières gratuits les vendredis, on doit les avoir chaque jour. C’est comme ça les luxes sont devenus de plus en plus normaux.
Ce qui m’inquiète un petit peu plus, sont les sentiments et les idées moins concrète de la culture « start up ». Nous sommes obsèdes par nos clients. Nous sommes concentres sur la vitesse, nous passerons à idée d’idée dans un instant. Nous donnons une liberté a nos emplois, parce qu’on est convaincu qu’ils feront toujours ce qu’il faut. Je ne vois pas des problèmes avec ses idées. C’est une question de continuités. Si on ne joue jamais au pingpong et les bières gratuites ne sont jamais bus, est ce que ces idéels vont devenir des sentiments sans substances?
A Guinée, je laisse toutes ces idées. Ici, il y a peu des « startups », la plupart des petites entreprises, sont les petits commerces. Ça n’existe pas un « culture code », et avec tant de chômage, la compétition pour le talent n’existe presque plus. Comme le plus grand accélérateur d’entreprise, nous jouons un rôle important dans l’enseignement du concept de la culture. A mon avis, la façon la plus effective d’enseigner quelques choses c’est de le montrer.
J’ai pensé a tout ça en train de présenter mon diaporama à propos de nos six « guiding principles » a le « cultural onboarding » de Dare to Innovate aujourd’hui. À ce moment, j’ai décidé que je ne voudrais pas que la culture de notre « start up » être une exporte a Guinée. J’ai changé la donne. Tous les emplois ont travaillé avec Dare to Innovate au moins trois mois. Donc je les ai demandés « Pourquoi nous sommes différentes ? » Nous avons discuté leurs pensées, et a créé un plan d’assurer que tous nos nouveaux emplois apprécieront nos valeurs. Je n’ai entendu ni des cliches ni des expressions. À la fin de la journée, culture ça vous rende unique et comme l’un des seuls « start ups » a Guinée, nous sommes bien uniques. Nous recrutons différemment. Nous formons différemment. Petit confession, nous avons une caféterie à la piston dans notre cuisine.
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Meghan McCormick es la co-fondatrice et le PDG de Dare to Innovate. Elle est passionnée par la création des valeurs pour les communautés, les clients et les entreprises (dans ce ordre). Elle est retournée de la Corps de Paix a Guinée, ancienne étudiante a Monitor Deloitte, et toujours un cliente enthousiaste de Georgetown University, MIT Sloan et Harvard Kennedy School of Government.